Messages : 818 Date d'inscription : 02/09/2012 Age : 25 Localisation : Partout. Poil d'Ecureuil | Sujet: Sondage ! Sam 16 Fév - 12:20 | |
| Voici un sondage où tous les membres ont le droit de voter pour leur texte. Pour une simple raison de non-favorisitisme, nous ne mettrons pas de noms sur les textes. J'espère évidement que vous aurez l'honnêteté de ne voter qu'une fois et non avec tous vos Doubles-Comptes. Une fois que avez voté, merci de poster un message le signalant (: - Texte 1 :
Des images que les auditeurs ne pouvait voir traversèrent les yeux de la jeune fille. Ils était tous venue ici pour l'entendre et tentait quelque chose contre "la vipère". Les chanteurs voila comment ils se faisait appeler, un groupe de révolutionnaire poursuivie par "elle". -Pendant ces années j'ai endurer la difficulté de ne pas pouvoirs s'exprimer, d'exposer ces idées. Sa voix se faisait plus clair et résonnait dans la salle remplie d'homme et de femmes au corde vocale encore en marche. J'ai survis a l’oppression de la "Vipère"! Cette femme vous en parlez tout le temps mais... Vous ne savais pas de quoi elle est capable. Mon histoire n'est pas un conte, mon histoire est la vérité! Aussi dure soit elle, j'ai vécue pendant trois ans dans l'enceinte même de la femme qui avait tué mon père. J'ai vécue trois ans sans pouvoir parler... Car comme vous le savez il n'y a pas que ce qui chante qui sont punis il y a aussi ce qui les écoute... L'enfant porta sa main a son cous ou elle détacha doucement l’écharpe qui protégeait sa gorge. Les cicatrice ornait ce cous si jeune de traits si rouge et douloureux que certain détournèrent les yeux de l'horrible spectacle. Effectivement on lui avait lacérer la gorge, pour ne plus qu'elle parle, pour ne plus qu'elle chante. -C'est elle même qui ma infliger cette punition. Elle prenait des barbelé rouillé qu'elle me mettais en collier. J'étais comme son chien, elle me lançait des regards dégouté comme si c'était moi qui était en erreurs. Les larmes coulait le long des joue des auditeurs accaparé par la souffrance de la jeune fille. Elle avait tellement vécue des choses horribles. Pourtant sa voix ne flanchait et ce timbre particulier gonflait les cœur de rage et de courage. -Mis a part le mauvais traitement la seule chose qui met le plus fait souffrir. C'est de ne plus pouvoir m'exprimer le silence est la pire souffrance que l'on puissent infliger. Nous ne pouvions jamais communiquer, les main attachait dérriére le dos nous écoutions ces sermons sur la puissance de l'état et la vulgarité de chanter. Pour elle chantait c'est exposer sa gorge a l'air, au microbe. Pacotille! Je suis ici pour dénoncer tout ce la! Pour m'exprimer vous donnez le savoir. Je suis votre livre vous êtes ma voix. Des première larmes commençait a couler le long des joue de la jeune fille. Ce n'était pas des larme de tristesse mais des larmes de joie, des larmes de soulagement. Un chuchotement c'était levé dans toute la rangé des chanteurs, il se levait tous petit a petit et commençait a chanter.
Petite, Petite... Rendors toi, nous somme la pour toi Comme le soleil éclaire la terre nous te guiderons vers le sommeil Petite Petite... Rendors toi, nous somme la pour toi Tel des oiseaux qui vole nous viendront toujours a ton secoure Petite, Petite... rendors toi, nous somme la pour toi Endors toi au son de ma voix...
La jeune fille écoutait la centaine d'homme et de femmes chantait la berceuse si connue. C'était cette même berceuse qu'avait chanté son père, cette même berceuse avait causer sa mort. Elle avait fermer ces yeux pour s'imprégner des paroles si douces et bien veillant e. La chanson a plusieurs pouvoir; beaucoup de pouvoirs dont celui de faire revivre l’espoir et d'encourager les cœurs meurtris.
- Texte 2 :
Mon histoire....Je devais leur parler de ces trois années,où enférmée comme un chien je devais supporter les maltraitances de mes "gardiens". Comment leur expliquer l'horreur d'être enfermée et de ne pas pouvoir dormir chaque soir en pensant à vos parents..Qui plus est,être enfermée dans un établissement dirigée par leur assassin? Je respira un bon coup et me lança :
Le matin je me levais,la peur au ventre et l'on m'emmenais dans une grande salle ou l'on nous servais le même discours..."ne pas chanter"...Mais qui ne veux,ne peux pas chanter?Pourquoi devait-elle l'interdire?>>
Je croisa mes bras sur ma poitrine et ferma les yeux,puis les rouvrit et continua :
<<- Le pire reste à venir. Chaque soir,les cauchemards remontais à la surface et je criais. Je hurlais comme si mon cri qui déchirait le silence habituel pouvait faire ramener à la vie mes parents. Evidemment les autoritées me punissais pour avoir crié.Oh,si vous saviez quelles horribles instruments il y avait là- bas! Un soir où l'on m'y avait emmené, j'avais été accroché à une table et de nombreux scientifiques étaient venus. Pourquoi faire?>> Je repartis d'un rire sombre
<<- Ils m'ont trafiqué les cordes vocales,de sorte à que plus aucun son ne sorte de ma bouche,la douleur ,si forte m'a conduit à la folie. J'avais neuf ans,et une folie meurtrière c'était emparée de moi. On m'a reconduis en cellule...et ce fut ce jour là que mon véritable calvaire commença. Les autres ne m'approchaient plus,et me fuyais du regard. je savais j'allais mourir,mais j'en étais heureuse! Oh oui! Si heureuse! Mais il faut croire que mon Destin s'en foutais de moi. Au lieu de me tuer ils m'on enférmée dans une autre cellule,à l'écart des autres prisonniers.Cette cellule était tout en verre et de nombreux scientifiques et savants-fous m'observaient. je compris quelques heures plutard ce qu'il clochait. Enfin,j'apérçus une fiche avec en guise de titre "Esîl, patient n°1". j'étais une expérience!Rien qu'un expérience. Mais qu'elles étaient ces expériences à proprement parler...Je n'en sus jamais rien.Je fus captive de mes neufs ans à mes douze ans,et vous ne réalisez pas combien le temps passe lentement quand on vous enferme.Mais nous en venons à ma fuite.... Je sais cela risque d'en choquer quelques uns,mais dans ce type d'établissement,c'est la loi du plus fort. La dedans j'étais la plus jeune,la plus jeune mais sans doute la plus rusé. J'avais appris par coeur le changement de gardes,et apprximativement,celon mes calculs j'avais cinque minutes pour m'échapper.C'était assez facile car,même si j'étais d'apparence frêle je glissa facilement par la porte que le Gêolier avait laissée ouverte par mégarde...Enfin,ma jubilation ne fut pas de longue durée,et je fis ma première victime. Il était assez jeune et devait avoir quatorze ans.Il avait la vie devant lui alors que moi si je ne quittais pas cette enceinte j'allais mourir,diséquée comme un animal.Il me poussa contre le mur et ma tête rebondit contre le carelage blanc.Mais décidemment j'étais à présent décidée à survivre. Je repéra une seringue,c'était de la folie pure mais ce chariot d'infirmière pourrait bien m'aider.J'attrappa la seringue et la colla dans l'oeil de l'adolescent.je le laissa criant et hurlant dérrière moi puis je sortis du bâtiment.>>
Je fixa l'assemblée dans l'espoir que personne ne me demmanderait d'informations supplémentaires. Au lieu de ça la porte s'ouvrit en un grand fracas et tout le monde lavit...'La Vipère' comme on l'appelait. Elle était mince et très grande.Son visage ridé et ses yeux froids ou aucune émotions y régnait. Je serra les dents et m'apprêta au combat. Il y eut des coups de fusils et des cris. Puis plus rien. <>
"Elle avait douze ans,la vie devant-elle. C'était un ange,un ange blond aux yeux bleus d'une grande tristesse. La cruauté des hommes est-elle sans limites? Elle était un emblème,elle avait réussis..." tel furent les gros titre dans le journal le matin qui suivit.
A minuit quand toutes les lampes furent éteintes on entendis au bâtiment deux de la rue numéro vingt-six un petit sifflement qui ressemblait à une étrange mélodie, à minuit une la ville entière se réunissait et chanta. Elle chanta en l'honneur d'Esîl. Et elle,la pauvre martyre les remercia de la où elle était.
- Texte 3 :
Lorsque le jeune homme lui avais posé cette question, son regard se voilà par une certaine peur, bientôt remplacé par une tristesse effroyable, comme s'il vivait pour une deuxième fois cette période de sa vie, le jeune garçon leva la tête bien haute et continua son récit :
« Pendant ses années, j'ai souffert, ses gens, c'était des... monstres, ils n'avaient aucune pitié. Tu chantais? Il t'arrachais tes tripes, une par une, leur sourires jusqu'aux oreilles, ça leur faisait plaisir de te voir souffrir avant ta mort. Moi, j'ai réussis à survivre, j'ai vu ce qu'ils faisaient a ceux qui avait enfreint la règle, j'avais oublié de préciser qu'on était plusieurs, des enfants, pour la plupart, certains avaient un bras en moins, même parfois on leur avait arraché les yeux. Ses gens... je me souviens de ce jeune garçon, Jules. Il m'avait expliqué il était aussi. Et à la fin de sa vie, il a fait l'erreur qui lui à coûté la vie. Mais il savait ce qu'il l'attendais. Son regard disait tout, je l'avais prit dans mes bras lorsque je sentis ce liquide bourgogne sur mes mains, partout sur mon cœur, et là, ses tripes qui était un peu plus loin de son corps, son regard sans vie, déguisé par une expression de souffrance. Je leva la tête et aperçut l'homme qui lui avait fauché la vie, tout ça... à cause qu'il avait chanté. Le jeune homme, je me souviens de son visage, son sourire, son regard luisait d'une certaine ruse, et dans sa main, je pouvais voir le cœur de Jules. Je déposa le corps sur le sol et versa des millions de larmes. Il n'avait pas mérité la mort. Personne ne la méritait. Mais si je voulais m'en sortir, je devais rester silencieux. Je regarda ma chemise rouge, désormais teinté par le sang de Jules... Mes mains était elle aussi teinté de son liquide rougeâtre... »
Il serra les dents, mais ne put échapper son cri de terreur, les gens le regardait, et semblait désolée. Ils avaient imaginé la scène, et aucuns enfants n'aurait dut subir cela, le jeune conteur fronça les yeux et continua sur un ton assuré :
« Si je chantais. J'allais mourir. Et c'est pour cela que je ne chantais pas. C'était suicidaire. Mais ses enfants...eux...chantaient sans aucun regrets. Leurs chants fut poursuivit par un orchestre de cri d'agonie, de rire jaune. Puis du sang qui giclait de partout. Le regard effrayé de ceux qui tenait encore à la vie, alors que ceux qui avait perdu tout espoir continuais le chant des autres enfants. C'était sans fin. Du chant, suivit par des cris, du sang, du chant, des cris, du sang... le cercle vicieux. Et ses hommes ne s'en lassaient pas. Ils continuaient leur carnage comme si c'était qu'un simple jeu. Puis... peux de temps après. J'ai put apercevoir la Vipère, elle tenait quelque chose dans sa main... et lorsqu'elle le leva pour bien le montrer à l'auditoire, j'ai vu que c'était la tête d'un enfant... ses yeux avaient été crevés et du sang coulaient de partout sur son visage, des cris effrayés retentirent, et La Vipère ne put retenir un sourire, satisfaite. Son regard était effrayant, il m'avait complètement paralysé, des gens aussi effroyable existait. J'avais l'impression de voir un holocauste devant moi. Ils avaient massacrés des centaines et des centaines d'enfants. Et ils souriaient tous. Sauf un, qui semblait regretter. Nos regards se croisèrent, il souris, et se mit à chanter d'un ton réconfortant :
Just close your eyes, The sun is going down, You'll be alright, No one can hurt you now, You'll be Safe and Sound.
Mon regard resta inexpressif, avant de me rendre compte que ce jeune homme m'incitait à m'enfuir, qu'il avait sacrifié sa vie pour moi. Je remarqua ensuite qu'on lui avait transpercé le crane avec une balle de fusil, mais son regard était toujours posé sur moi, jusqu'à ce qu'il tombe, inerte. Je resta là, puis j’aperçus une fenêtre ouverte par mégarde, j'étais le seul survivant. Je sortis le plus rapidement possible et me dirigea vers la foret. Je reçut une balle dans la colonne vertébrale, une fois arrivé au village, mais on me recueillit et on m'a soigner. Voilà, c'était les trois années les plus horribles de ma vie. Et je n'oublieras jamais ce que cet homme à fait pour moi. Sans lui, je serais certainement mort. »
Tout le monde remarqua ensuite que le conteur était en chaise roulante, et que celui-ci pleurait à chaude larmes, l'assemblée se mit en rond autour de lui et se mirent à chanter, pour le rassurer. Car, au fond de lui, tout ce qu'il voulait, c'était qu'on le réconforte
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Messages : 278 Date d'inscription : 11/07/2011 Age : 25 Localisation : Dans ma grotte, assis, je t'attends. ♥ Troublemaker ♥ Étoile Mouchetée | Sujet: Re: Sondage ! Dim 17 Fév - 21:52 | |
| /J'ai voté, désolée de pas l'avoir dit avant ~/ |
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