Je savais qu'elle allait mourir mais je me refusais de l'admettre.

Je suis assis a coter d'elle et je me retiens de pleurer. Encore un de mes proche allait mourir d'une maladie. Soudain elle me fixa de ses prunelle d'un vert profond. Dans sa fièvre elle délirait et ne me voyez plus mais la elle me regarder.

- Petite Lys... Sa respiration était saccader et elle parlais difficilement.

-Oui, je suis la. Tu... Tu crois que tu vas guérir? Je savais bien la réponse mais j’espérais encore.

-Non, je vais mourir je le sais. Je te demande de devenir une chatte forte et loyal envers ton camp. Tu me le promet?
J'enfoncer mon museau dans ses poil sombre et miaule d'une petite voix.

-Je te le promet. Tu seras fière de moi! Puis je laisser cour a mes larme de chagrin.

-Tu... Tu est courageuse ne flanche jamais et n'abandonne jamais rien surtout ceux qui te tien a cœur. Ceus furent ses dernier mot. Je me relevais et sortit de la tanière des ancien et miaula a notre guérisseuse et a notre chef.

-Elle est morte.

Je passais ensuite la nuit a la veiller et a tirer un trés sur mon enfance.

Toujours droit, le poitrail gonflé, assis et la queue enroulée autour des pattes, j'observais de loin le Clan faire son deuil de Lune Noire.
C'était quelqu'un de bien. Elle avait déjà passé de très nombreuses lunes au service de son Clan lorsque je n'étais qu'un jeune guerrier inexpérimenté. Certes, je n'avais jamais été très proche d'aucun ancien. Même alors que tous les apprentis adoraient leurs histoires, moi, elles m'énervaient. Je préférais de loin créer mes propres aventures... Hohoho, cela me rappelle la fois où... oh, mais je m'éloigne du sujet.

Les membres du Clans se relayaient autour du corps à présent sans vie de Lune Noire. Plissant les yeux, je remarquais, collée à la fourrure sombre de l'ancienne, une petite boule de poils blanche que n'avait pas bougé depuis le début de la veillée. Petit Lys...
Personne n'ignorait cette chatonne : ses parents avaient perdu la vie pour cause de maladie, et c'était maintenant cette vieille branche qui l'avait recueillie qui disparaissait. Bien que la pitié et la compassion ne furent pas partie de mon caractère, je ne pus m'empêcher d'avoir de la peine pour cette gamine. Ayant moi même perdu mon père très tôt - il était mon modèle et était tout pour moi -, je pouvais comprendre le chagrin de la petite chatte blanche.

Il faisait maintenant nuit et un vent frais soufflait du la combe. La plupart des guerriers dormaient. Une sentinelle était postée à l'entrée du camp. Petit Lys était toujours couchée près du corps de Lune Noire. Les autres anciens attendaient à côté. Ils devaient porter le cadavre et l'enterrer. Mais la chatonne ne voudrait surement pas quitter son amie... je soupirai, exaspéré par l'idiotie de certains chatons.

Descendant de mon poste d'observations en quelques bonds, j'allais rentrer dans le refuge des guerriers pour une bonne nuit reposante lorsqu’une voix rauque grogna derrière moi.

- Petit Lys, enfin... Il faut la laisser partir maintenant.
C'était Vieille Branche, une des anciennes. La pauvre, elle n'avait sans doute aucune chance de persuader la petite. Soupirant à nouveau, ma superbe fit demi-tour et vint s’assoir près des vieux chats.

- Un problème ? Elle ne veut pas laisser partir Lune Noire, c'est ça ? questionnais-je d'un ton las.
Ils secouèrent la tête et Vieille Branche partit dans un sermon envers les jeunes trop têtus et je ne fus pas surpris qu'elle ne m'inclue dans le lot. Ignorant les remontrances de cette folle, je me penchais en avant et murmurai à Petite Lys :
- Aller, princesse, laisse la en paix. Elle mérite bien le repos éternel.

...

Je ne voulais pas la quitter, elle était la personne la plus chère a mes yeux je voulais encore rester avec elle.
J'étais encore coller contre son corps devenue froid quand vielle branche me dit:

-Petite Lys enfin... Il faut la laisser partir maintenant.

Mais ce n'est pas une... une... Une vielle branche comme elle qui vas me la faire quitter. Elle poursuivie son discours mais je ne l'écoutais même pas. Soudain j’entendis un miaulement masculin.

-Aller Princesse, laisse la en paix. Elle mérite bien le repos éternelle.

Oh non, pensais je, voila que Casanova essaye de faire le gentil! C'en était trop! La colère monta en moi.

-Ce n'est pas toi qui vas me dire ceus que je dois faire! Remarque tu dois en profiter tu est surement heureux de me voir souffrir! Tu te dit " Oh ! voila un misérable petit chaton qui a perdue sa seul mère! Si j'allais lui donner l'honneur de ma présence ". DE TOUTE FAÇON JE VOUS DÉTESTE TOUS!

J’enfouis une dernière fois mon museau dans son pelage et je me levais et fila dans la tanière des ancien honteuse de mon insolence maintenant que j'avais reprit mes esprit.

(Petite Lys quand un personnage parle met le texte en gras et en couleur si tu veux (couleur que tu ne devra jamais changer alors réfléchie bien, je te conseille le orange pour notre clan.)

P.S: Lune Noire doit mourrir de maladie, à cause de l'étrange maladie qui frappe les rongeurs)

La chatonne releva un visage couvert de larmes vers moi.

- Ce n'est pas toi qui vas me dire ceux que je dois faire ! Remarque tu dois en profiter tu es surement heureux de me voir souffrir ! Tu te dis " Oh ! Voila un misérable petit chaton qui a perdu sa seule mère ! Si j'allais lui donner l'honneur de ma présence !". DE TOUTE FAÇON JE VOUS DÉTESTE TOUS !

Et elle détala vers la tanière des anciens, où elle avait élu domicile. Surpris, stupéfait et prit au dépourvu, je restai un moment immobile, digérant ces paroles blessante quoi qu'un peu vraies. Juste avant que la chatonne ne sorte de mon champs de vision je me tournai furieusement vers elle et lançai :

- Et alors, ça te pose un problème que je pense ça ?!

Bon, certes, elle avait raison. En partie.
Bon d'accord, elle avait raison en tout point ! Mais je ne tolérerai pas qu'on me parle sur ce ton ! Les anciens étaient restés immobiles et silencieux. Lorsque le gloussement moqueur de Vieille Branche brisa le silence, ma queue s'agita de frustration et je m'empressais de quitter leur présence pour suivre la petite impertinente.

Elle s'était réfugiée sur l'ancienne couche de Lune Noire, me tournant le dos. je m'approchais silencieusement derrière elle, la saisis par la peau du coup avec mes griffes (sans y aller trop fort quand même) et la tournais pour qu'elle puisse me faire face.

- Dis donc, petite insolente ! grognais-je. Il m'arrive très rarement d'être sympa avec quelqu'un, et surtout si c'est une gamine comme toi. Alors ne viens pas te plaindre si tu es l'heureuse élue qui a eut droit à une phrase gentille de ma sublime voix.

A ces mots, je la lâchais et elle retomba sur le sol de la tanière. Je m'assis ensuite face à elle, mon poitrail gonflé - comme toujours - et la jugeai d'un œil inquisiteur, attendant quelque excuse.

-...

La petite chatte blanche baissa les yeux. Je l'observais d'un air supérieur, le menton levé, pour qu'elle se sente bien plus petite, lui faire comprendre qu'elle était insignifiante face à un guerrier - surtout face à ma superbe.

- Je suis désolée je me suis laissée emporter par les événement, ça ne se reproduiras plus. Enfin je crois.

Un sourire triomphant apparut sur mes lèvres l'espace d'une seconde seulement, dévoilant mes canines acérées. Il disparut aussitôt. Ce n'était pas vraiment une victoire, il s'agissait juste d'une petite remontrance envers une enfant désobéissante. Et insolente. Et impertinente, et insolente, arrogante, irrévérencieuse, grossière,...
Une minute.
Mais c'est tout moi à son âge, ça ! Oui, en y pensant, j'étais pareil... Et je le suis toujours. Mais bien sur en plus... comment dire... Raffiné ? Expérimenté. Le narcissisme en plus. Mais que voulez vous, nous avons tous nos petits défauts, hohoho.

Je repris mon sérieux et examinais la petite qui gardait la tête basse.

- Bah. C'est bon - pour cette fois, soupirai-je. Mais il faut que tu te calmes un peu, princesse. J'étais pareil que toi, avant, tu sais. j'ai régis pareil quand mon père est mort. Ça a été l'élément déclencheur, du coup je suis comme ça depuis longtemps... Mmm'héhé, sauf que moi je suis sublime de nature, hoho... Herm, enfin.

Petite Lys releva la tête et je marquais une pose, le temps de lui offrir un joli sourire sympathique. Oui, sympathique, et pas narquois ou le "spécial gentleman".

- Tu es grande maintenant, tu es bientôt une apprentie. Grandis un peu, princesse.

Ceci dit, je lui tapotais gentiment la tête du bout de la queue et me levais pour quitter le refuge des anciens, sans attendre de réponse de Petite Lys.
Juste avant de me rouler en boule à ma place, au fond de l'antre des guerriers, j'eus le temps d'apercevoir le pelage soyeux de Nuit Étoilée qui passait dans le camp.

Je regardais dons par terre quand corbeau me répondit.

- Bah. C'est bon - pour cette fois, soupira-t'il. Mais il faut que tu te calmes un peu, princesse. J'étais pareil que toi, avant, tu sais. j'ai réagis pareil quand mon père est mort. Ça a été l'élément déclencheur, du coup je suis comme ça depuis longtemps... Mmm'héhé, sauf que moi je suis sublime de nature, hoho... Herm, enfin.

Je relevais la tête en entendant la dernière phrase. Il hésitait????
Puis la je vit son visage son sourire. Si différent de ses rare sourire qu'il fessait. Un sourire d'une franche camaraderie sans arrière penser.

- Tu es grande maintenant, tu es bientôt une apprentie. Grandis un peu, princesse.

Puis il me tapota la tête avec sa queue, me laissant la encore toute étonner de se geste affectueux . Toujours sous le choc je me recouchais dans le coin de lune noir.
Se sourire ma permis de voir sa vrai nature quel qu'un de gentil. Peut être se cache t'il derrière son apparence narcissique ? Sur ses doute je m’endormis d'un sommeille cauchemardeux.

(Je lock ?)